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Mar 6 Juil - 18:57



La menace Spencer




Le 13 mai 2021

Garée devant un immeuble tout ce qu’il y a de plus banal, Dakota hésite à sortir de sa voiture. Sérieusement, qu’est-ce qu’elle fait là ? Ah oui, elle cherche à rassurer sa mère… Elle n’est pas sûre que se retrouver seule, au milieu d’inconnus, pour parler de ses problèmes soient la meilleure des solutions, mais si ça peut faire plaisir à sa mère, elle peut bien faire ça… Surtout qu’elle l’a un peu délaissée ces derniers temps, trop occupée qu’elle était à rattraper le temps perdu avec son père. En parlant de ce dernier, elle a failli lui demander de l’accompagner, avant de se ressaisir. C’était une idée ridicule, qu’est-ce qu’Ashton Calvin aurait fait à une réunion pareille ? Sauf que voilà, ça l’aurait quand même rassurée de savoir qu’elle n’était pas seule, parce qu’elle a la trouille de se retrouver au milieu d’inconnus… Un aboiement joyeux lui rappelle qu’en fait, elle n’est pas venue seule, mais elle n’est pas sûre que Smaug soit d’un très grand soutien. Au moins, en cas de problème, elle pourrait toujours compter sur lui pour grogner, faire fuir quelqu’un, ou lui faire un gros câlin - la dernière hypothèse étant la plus probable.

Après une bonne minute supplémentaire à maltraiter sa lèvre inférieure, la brune finit par se résoudre à sortir de sa voiture, Smaug sur les talons, pour entrer dans l’immeuble. A l’intérieur, elle se retrouve face à plusieurs portes ouvertes mais surtout, une multitude de gens. Prise au dépourvue, Dakota sent la panique monter en elle et elle s’engouffre dans la première salle qui ressemble à l’idée qu’elle se fait d’une réunion pour personnes ayant survécues à une expérience traumatisante : des chaises et une table avec des boissons chaudes et des gâteaux - comme un bon cliché d’alcooliques anonymes mais avec quelques bières.

Une bonne dizaine de minutes après le début de la réunion, Dakota réalise avec horreur qu’elle est entrée dans la mauvaise salle. Elle n’est pas du tout entourée de gens ayant survécu à un traumatisme mais plutôt des gens n’arrivant pas à se remettre d’une relation amoureuse - parfois clairement toxique d’ailleurs. Bon, dans l’absolu, ce n’est pas si dramatique, sauf qu’elle n’ose pas se lever pour partir, parce qu’elle n’a pas envie de se faire remarquer et encore moins de passer pour l’idiote qui est entrée dans la mauvaise salle. Ce qui ne l’empêche pas de se sentir complètement stupide et de se mordre le pouce de nervosité alors que Smaug est tranquillement occupé à baver sur son pantalon - mais en cet instant, ça n’a aucune espèce d’importance.

Même si elle ne participe pas vraiment aux échanges - elle manque trop d’assurance pour ça - ça n’empêche pas Dakota d’être attentive à ce qui se passe autour d’elle. L’air de rien, en écoutant les témoignages de ces personnes blessées par leur relation sentimentale, la brune réalise un peu plus à quel point sa relation avec Spencer était toxique. Du début à la fin d’ailleurs… Heureusement qu’elle a réussi à se libérer de son emprise et à rompre, la situation aurait pu tourner au désastre sinon… Après plus d’une demi-heure d’échange, l’animatrice propose un petit atelier pour extérioriser les sentiments que ressent chaque personne dans la salle. Elle distribue à chacun un papier sur lequel elle demande d’écrire le prénom de l’ex à qui on en veut. Dakota hésite à participer, pendant quelques secondes, ou à donner un faux nom puis elle se dit que c’est stupide, que personne ici ne la connaît et encore moins Spencer. Elle finit donc par inscrire son nom sur la feuille blanche. L’animatrice - une petite femme rondelette qui met facilement en confiance - récupère les papiers et s’éloigne le temps de préparer l’atelier.

Au bout de quelques minutes, elle revient vers le groupe et invite tout le monde à s’avancer vers le mur du fond, où sont accrochées des cibles de fléchettes. Génial, de l’agilité et de la précision maintenant… Quelque chose lui dit qu’elle sera très nulle à ce jeu ! Elle se lève malgré tout, un peu en retrait du groupe et cherche la cible sur laquelle son papier est collé. Bien sûr, il faut que ce soit la dernière, sinon c’est pas drôle, sauf que quand elle arrive devant, elle tombe sur un grand blond bouclé, qui vise le cœur de la cible avec une fléchette. Euh… il s’est trompé de cible ? Timidement, elle s’approche et s’arrête à un petit mètre de lui - des fois qu’elle le surprenne, elle n’a pas envie de se prendre un coup, puis bon, depuis quelques semaines, elle préfère se tenir loin des inconnus.

- Excusez-moi ? l’interpelle-t-elle doucement. Je crois que c’est ma cible…

Par acquis de conscience, elle jette un nouveau coup d'œil au papier accroché sur la cible, des fois que le nom inscrit ait changé depuis dix secondes, mais non, il y a toujours bien inscrit “Spencer” et elle reconnaît son écriture arrondie en plus.

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Dakota Calvin
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Dakota Calvin
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Dakota Calvin
Mar 20 Juil - 19:55


We thought that we had been hurt before, but no one's ever left us quite this sore Dakota & Daimon 13/05


Comment j’en étais arrivé à débarquer à un groupe de parole ? Excellente question. Il y a un an ou deux, si on m’avait dit que je participerais à ce genre de rassemblement que je jugeais inutile et ridicule -quel était l’intérêt de remuer le couteau dans une vieille plaie mal cicatrisée ?- j’aurais probablement ri à la figure de qui m’aurait sorti une telle énormité. Et pourtant… C’était Luce qui, d’abord, m’en avait parlé. Il fallait dire que la tornade émotionnelle qui me servait de petite soeur essayait depuis quelques années déjà de me secouer. Soit disant que j’intérioriser mes émotions au sujet de Sp… de mon ex fiancée. Qu’il fallait que j’en parle, que je le sorte, pour commencer à effacer, et à guérir. Je n’étais clairement pas de cet avis, et pour moi la meilleure place que je pouvais réserver à Spencer, c’était enterré quelque part dans un coin de ma tête ou de mon coeur. En parler ne ferait que réveiller de vieilles blessures, je n’en voyais absolument pas l’intérêt. Mais s’il était de notoriété publique que le trait “entêtement” courait dans les veines des Weiss, il était certain que Luce nous supplantait dans le domaine. Alors oui, elle m’avait eu à l’usure. Comme souvent.

Finalement, le deal était simple : j’allais à UNE de ces stupides séances, et si je constatais que ça ne m’aidait en rien à “guérir”, elle me fichait la paix, et la première serait la dernière. Alors oui, j’aurais pu prétendre y aller et aller me planquer chez Parker le temps nécessaire, mais je détestais mentir à ma famille. Si j’avais donné ma parole d’essayer, je le ferais. De toute façon, ce n’était qu’un moment désagréable à passer, et ensuite je pourrais lui agiter un petit “Je te l’avais dit” devant la figure, ce qui ne manquerait pas de l’embêter. Douce mais méritée vengeance.

Et ce fut ainsi que j’atterris dans cet espèce de réunion qui répondait clairement à tous les clichés des films. Nous étions tous assis en cercle sur des chaises qui ressemblaient à des sièges de cantine bas de gamme -et qui étaient toute aussi confortables qu’elles n’étaient jolies d’ailleurs- avec une dame pour inciter les gens à s’exprimer. Moi, j’étais bien décidé à ne pas décrocher un mot, et mon air de porte de prison la découragea plusieurs fois lorsqu’elle cherchait des témoignages. J’écoutais d’une oreille distraite les histoires de ces pauvres gens, me demandant si étaler leur tristesse à d’autres malheureux allait véritablement les aider. Une personne en particulier attira mon attention, pas tellement par son récit, puisqu’elle était tout aussi silencieuse que moi, mais parce qu’elle avait amené son chien -ou son Eidolon ?- avec moi, ce qui n’avait pas manqué d’enthousiasmer Liloo qui avait passé les vingt premières minutes surexcitée à l’idée de pouvoir aller voir son semblable. Elle avait fini par se calmer en comprenant qu’on était vissés à nos chaises pour un moment et avait fini par se coucher par terre contre mes pieds.

Et puis enfin, on nous demanda de nous lever. Ah ! Un peu d’action ! Enfin j’espérais. Si on nous faisait nous remettre en cercle mais debout cette fois-ci, j’allais devoir songer à mettre le feu à la salle pour qu’on nous évacue d’urgence et que je mette fin à ce cirque. Je me prétai au jeu avec un scepticisme non feint, mais en me disant que ça ne pouvait pas être pire que le début. Un joli pari, puisqu’on allait a priori… jouer aux fléchettes. Bon, personnellement, j’aurais préféré balancer des haches, voir utiliser une catapulte ou une balliste, mais ça restait quelque chose de plutôt amusant. Tout était mieux que d’écouter des histoires à pleurer dans les chaumières en enfilade, en fait.

J’avais un tel besoin de me mouvoir que lorsqu’elle nous annonça avoir fini d’accrocher les cibles au mur, je fus un des premiers à me mettre en mouvement, sous le regard d’ailleurs interloqué de l’animatrice. Il était certain que le passage de “mollusque sur son rocher” à “robin des bois survolté” pouvait surprendre un peu… Je repérai le papier avec le nom de Spencer, et contre toute attente, le fait de le voir, là, sur une cible, réveilla en moi une espèce de rage sourde que je ne pensais même plus avoir dans mes entrailles. C’était de l’histoire ancienne, Spencer. Un mauvais cauchemar. Un souvenir dévoré par le feu éternel qui brûlait en moi. C’était en tout cas ce que je pensais jusque là. Mais à voir son nom inscrit là… Je sentis une douleur aiguë dans ma poitrine. Je revoyais ses yeux de biches ourlés de cils noirs suffisamment longs pour toucher le ciel. Je revoyais sa chevelure ébène qui cascadait dans son dos et jusqu’à ses hanches, qui rebondissait à chacun de ses mouvements. Ses mouvements tellement grâcieux qu’ils vous envoûtaient en quelques secondes à peine. De belles vapes de fumées colorées pour mieux dissimuler l’incendie ravageur qu’elle avait laissé derrière elle. Littéralement. Le manoir Weiss avait bien failli crâmer à cause d’elle… Enfin à cause de moi.

Aveuglé par mes souvenirs, je ne remarquai pas tout de suite qu’on s’était rapproché de moi. J’avais déjà planté 2 fléchettes quasi en plein coeur de la cible. Si seulement c’était son coeur à elle que j’étais en train de transpercer avec ma colère meurtrière… Me sentant observé, je m’interrompis, pivotant un peu pour faire face à une jeune femme brune qui en profita pour prendre la parole. Ah, c’était la propriétaire du chien, je la reconnaissais. Liloo aussi d’ailleurs, car elle s’était déjà approchée de celui-ci avec son intarissable curiosité tant que je posai un regard interrogateur sur mon interlocutrice, me demandant pourquoi elle venait discuter avec moi au lieu d’aller massacrer son bout de papier comme tout le monde.

L’explication me fut vite donnée, mais ma première réaction fut d’éclater de rire.

- Ah non non, je ne crois pas, cette garce là, c’est mon cheval de bataille, j’vous assure.

Répliquai-je, désignant la cible déjà bien amochée de mon pouce, un sourire doux-amer aux lèvres. On n’allait pas m’enlever la seule partie marrante de cet atelier quand même ! Je jetai un oeil à la cible pour admirer les deux petits trous que j’avais percés chez cette sorcière de Spencer, et mes yeux tombèrent sur son prénom. Spencer. Un prénom qui me hanterait probablement une bonne partie de ma vie. Euh… Minute. Je plissai les yeux, pris soudainement d’un doute. Un prénom que je n’avais surtout pas du tout écrit. L’écriture toute arrondie, très féminine, n’était clairement pas la mienne.  J’ouvris la bouche, me sentant soudainement très, très, TRES confus.

- Oh merde ! Pardon ! Désolé ! Je...

Je viens de massacrer SA vengeance ! C’était vraiment pas cool… Moi j’aurais pas aimé que quelqu’un dézingue MA Spencer comme ça alors que c’était clairement à moi de lui refaire le portrait...Enfin… le prénom, puisqu’il n’y avait pas sa tête sur la cible. Dommage. J’aurais pu crever ses jolis yeux de vipère… Non, focus Daimon ! Tu viens de crever les non-yeux de PAS ta Spencer…

- Je euh… Je suis confus. Mon ex aussi s’appelle Spencer… Je euh… peux te proposer d’aller fléchetter la mienne en échange ?

Flechetter… J’en inventais même de nouveaux mots. Ah merde et je venais de la tutoyer ? Non mais plus rien n'allait là... Jusqu'au bout, Spencer me mettait sans dessus dessous !

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Daimon Weiss
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Daimon Weiss
Mar 20 Juil - 22:01



La menace Spencer




Le 13 mai 2021

Ce n’est pas chose aisée pour Dakota que d’aborder un parfait inconnu, surtout dans un cadre non familier, et encore moins depuis son enlèvement. Pourtant, elle prend son courage à demain et se résout à déranger le blond concentré à lancer ses fléchettes sur le papier accroché à la cible lui faisant face. Papier qui n’est autre que le sien, ce qu’elle essaie de lui expliquer un peu gauchement, sans trop oser s’affirmer. Contre toute attente, le blond éclate de rire à sa remarque et Dakota se ratatine un peu sur elle-même, mal à l’aise, en regardant ailleurs. Du coin de l'œil, elle remarque le samoyède, enfin il lui semble que c’est un samoyède, qui accompagne le blond s’approche de Smaug et elle préfère se concentrer là-dessus en attendant que le rire cesse. Son petit dragon, enfin presque, en plus poilu disons, se retrouve à remuer la queue, tout content, et s’approche sans crainte de son nouveau compagnon de jeu. Parfois, elle aimerait que sa vie soit aussi simple que celle de son chien, malheureusement, le Karma en a décidé autrement pour elle...

Elle relève la tête quand l’homme qui lui fait face prend la parole, avec un drôle de sourire, pour lui expliquer qu’il est bien devant le bon papier. Apparemment, lui aussi a un compte à régler avec Spencer, pas le même cela dit puisqu’il s’agit d’une garce, pour reprendre ses mots, d’après ses dires. Qu’est-ce qu’elle est censée répondre à ça au juste ? Cette situation n’a rien de confortable mais ce n’est pas pour autant qu’elle va rester plantée là, devant lui, à mordiller l’intérieur de sa lèvre. Déjà, parce qu’elle va finir par se faire mal mais aussi parce qu’elle a l’air d’une idiote à rester plantée là sans rien faire. Mal à l’aise, elle jette un regard autour d’elle pour constater que tous les autres participants à cette réunion sont occupés à lancer des fléchettes sur la source de leurs tourments et que l’animatrice est occupée sur son téléphone. Personne n’a donc remarqué le drame, façon de parler, qui est en train de se jouer. C’est ce moment que choisit Smaug pour donner un petit coup de museau dans sa main, sûrement en signe de soutien, il a toujours été étonnamment clairvoyant sur ses émotions. Machinalement, elle glisse sa main dans ses poils et se met à le caresser. Au moins, ça a le mérite de la détendre un peu, et de réfléchir à une solution. S’il le blond pense que ce papier est le sien, c’est probablement qu’il y a un autre “Spencer” accroché sur une cible, non ? Bon, elle imagine que ça ne coûte rien d’aller voir… Sauf que le blond réalise sa méprise à ce moment-là et il se met soudainement à s’excuser, visiblement confus.

- Non, non ! C’est rien ! s’empresse-t-elle de le rassurer en agitant les mains devant elle, comme si ça pouvait donner plus de poids à sa déclaration.

Sauf que ça ne suffit pas à l’arrêter puisqu’il continue sur sa lancer, en lui expliquant que son ex aussi s’appelle Spencer. Il finit carrément par lui proposer d’aller “fléchetter” sa propre cible et, contre toute attente, Dakota se retrouve à pouffer légèrement de rire, amusée par l’incongruité de cette situation. Elle finit par se calmer rapidement et, gênée, elle coince une mèche de cheveux derrière son oreille, sans trop savoir où se mettre. C’était peut-être déplacé de sa part de pouffer de cette manière mais, au moins, ça a le mérite d’avoir fait s’envoler une partie de sa nervosité.

- J’ai cru comprendre oui, qu’on avait Spencer en commun… Et ce n’est rien, vraiment, je crois que j’aurais pu faire la même méprise, il n’y pas de quoi s’excuser, lui assure-t-elle avec un sourire incertain et un peu timide.

Son regard coule alors jusqu’à la cible, déjà plantée en son centre de deux belles fléchettes, mais surtout vers le papier qui y est accroché. Vers ce simple prénom, Spencer, qu’elle a inscrit un peu plus tôt et qui, de là où il se trouve, semble la narguer. Comme le faisait le vrai Spencer, en la prenant de haut, quoi qu’elle fasse, pour lui montrer que ça ne serait jamais assez et qu’elle avait encore des efforts à faire. C’est peut-être stupide, idiot même, mais elle se retrouve intimidée face à ce vulgaire bout de feuille, comme incapable de faire face à son ex et aux dégâts qu’il a causé en elle. Elle pensait avoir dépassé tout ça, apparemment, elle se trompait et cette constatation la paralyse plus qu’elle ne voudrait bien l’admettre. Son visage perd un peu de couleur alors qu’elle reporte son attention sur le blond sans pour autant oser le regarder dans les yeux cette fois-ci.

- Euh… je crois que ça ira, merci… répond-elle en secouant doucement la tête, ramenant ses mèches folles sur son visage. De toute façon, je suis nulle pour ce genre de chose donc je raterais probablement la cible. Faites vous plaisir !

Enfin, si tant est que ça lui fasse plaisir d’envoyer des fléchettes sur son ex. Bon, elle avait l’impression que oui en s’approchant de lui, mais elle n’en est pas sûre pour autant.


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Dakota Calvin
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